
Depuis plus de 2 ans maintenant, je vie au rythme des diffusions de DESPERATE HOUSEWIVES dont je suis une fan inconditionnelle.
En effet, c'est en 2006 que quatre femmes au foyer, qualifiées de «désespérées», ont débarqué sur nos écrans dans la série DESPERATE HOUSWIVES. Bree, Lynette, Gabrielle et Susan. Quatre voisines au caractère souvent opposé, vivant dans une banlieue américaine proprette et chic, Wisteria Lane. Il n'a fallu que quelques épisodes de Desperate Housewives pour que les téléspectateurs français, à l'instar des américains, s'approprient le destin tumultueux de ces fausses ménagères. Aux États-Unis, dès la première saison, on comptait 25 millions de fans rivés à leur écran pour chaque épisode loin devant les deux autres séries phares Sex and the City et 24 heures chrono dont la première dame des États-Unis, Laura Bush. Cette dernière n'a pas hésité à confier, au cours d'une cérémonie officielle et en présence de son mari, que, pendant que «M. Rigolo dormait », elle regardait Desperate Housewives… Les récompenses se sont accumulées, Golden Globe, Emmy Awards… En France également, le mot «culte» s'est accolé à la série, rapidement transformée en phénomène de société. À tel point que l'expression «desperate housewive» est passée dans le langage courant pour remplacer le terme démodé de «ménagère».
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Les magazines people ont embrayé à leur tour, s'emparant de ce filon. Jamais une série américaine n'avait récolté autant d'honneurs de la presse people et magazine en France. Unes, entre autres, de Paris Match, de VSD et, bien sûr, de tous les magazines télé. Les journaux s'intéressant aux potins qui entourent les héroïnes, leurs vraies ou fausses disputes sur le tournage, leur vie privée.
Les magazines people ont embrayé à leur tour, s'emparant de ce filon. Jamais une série américaine n'avait récolté autant d'honneurs de la presse people et magazine en France. Unes, entre autres, de Paris Match, de VSD et, bien sûr, de tous les magazines télé. Les journaux s'intéressant aux potins qui entourent les héroïnes, leurs vraies ou fausses disputes sur le tournage, leur vie privée.

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